Ces deux livres devenus rares publiés anonymement en 1768 et 1770 sont consacrés à la critique de la religion judaïque telle qu’elle est rapportée dans l’Ancien Testament.
D’Holbach en examine les fondements, qu’il analyse comme étant caractéristiques de la théocratie, dont les dangers les plus redoutables résident dans la soumission du peuple juif à ses prêtres et son aveuglement, victime de l’observance de rites ridicules et de superstitions absurdes.
Pour D’Holbach, le christianisme conserve l’essentiel du judaïsme, de sa théologie et de ses égarements, devenant lui-même outil plus puissant, à vocation universelle, d’asservissement et d’obscurantisme. Pour lui, comme il l’écrit, « les chrétiens sont des Juifs incirconcis ».
Parfaitement complémentaires, ces deux ouvrages peuvent constituer, dans l’œuvre du baron D’Holbach, une Histoire critique de l’Ancien Testament.
Un volume de 150 pages au format 15 cm x 21 cm.
Attention ! Cette édition n'est pas un fac-similé (plus ou moins médiocre) d'éditions anciennes. Le texte a été entièrement ressaisi et annoté, l'orthographe et la ponctuation ont été modernisées.